Le 10ème palier de la campagne est tombé !
Ce qui introduit avec joie le petit bilan de la semaine pour la campagne de financement participatif des Chants de Loss, qui va durer encore 28 jours. Avec pratiquement 400% de financement, nous sommes très joies, mais pourtant les choses ne font que commencer, puisque les premiers suppléments attendent encore sagement leur tour !
Et on ne relâche pas nos efforts ! Désormais, tous les jours, vous allez pouvoir découvrir à travers des news sur la page de financement, l’envers du décor du jeu de rôle, à travers des articles sur ses concepts, ses points originaux, ses auteurs, ses intervenants et ses artistes.
Parmi les nouvelles, nous allons aussi incessamment sous peu ouvrir en option l’achat des romans Les Chants de Loss avec les offres du jeu, y compris la précommande du tome 3 en exclusivité ! J’avoue, j’ai hâte que l’option soit mise en place et annoncée et je ne suis pas la seule tant on nous l’a demandé !
Concernant les dés signés Les Chants de Loss, une question revenait souvent : quelle sera la couleur des dés dans chaque lot de 5 dés ? Hé bien, il y aura cinq couleurs différentes par lot pour cinq symboles ! Un par Vertu (vert, rouge, bleu clair et blanc), plus le symbole de la chance lossyanne : les fursas ! On devrait d’ailleurs vous proposer un sondage pour choisir la couleur du 5ème dé, on vous en reparle !
N’oubliez pas d’aller poser vos questions sur la page du financement participatif, on vous réponds rapidement et désormais, les autrices participeront aussi sur cette page de commentaires. N’oubliez pas non plus de suivre les partages de la page et de partager à votre tour, ou encore d’aller liker la page des Chants de Loss, d’autant que des cadeaux de paliers sociaux vous attendent ! Et bien sûr, vous pouvez aussi nous rejoindre et venir nous rencontrer sur le groupe facebook Les Chants de Loss !
Et pour finir en beauté, un extrait d’une image révélée du palier « Tranche de vie », où les artistes illustrent tous les aspects de la vie quotidienne des Lossyans, avec le travail de Pierre le Pivain qui s’y est lancé :